Le 17 septembre 2020, Netflix proposait à ses utilisateurs un documentaire centré sur Gims les mois qui ont précédé son concert en 2019 au Stade de France.
Pas seulement son parcours semé d’embûches y est évoqué tout comme sa vie avant la Sexion d’Assaut (groupe qui l’a fait connaître et avec lequel il fera son retour en mai prochain) ainsi que sa vie de père de famille, les dérives du milieu dans lequel il est une référence.
L’artiste s’est dévoilé sous l’œil de Florent Bodin. Et la tâche n’a pas été simple comme l’a mentionné le réalisateur, qui a donné des détails de son travail sur le mari de Dem Dem dans le dernier numéro de Society.
“Dans le documentaire que j’ai fait sur lui, il y avait un seul sujet tabou : les lunettes. C’était ficelé par les avocats, il ne voulait pas qu’on voie son regard”.
Face à Audrey Crespo-Mara dans Sept à Huit sur TF1, le rival de Booba avait révélé sa peur de les retirer.
“Ça fait tellement longtemps que je les ai, j’ai fait tellement de choses avec que ce serait fou de les enlever là, maintenant. J’ai peur. Ça me fait peur de les enlever, a avoué l’interprète de jusqu’ici tout va bien. Je ne sais pas pourquoi. On peut me demander de soulever un camion, je vais tout faire pour, mais là, enlever mes lunettes comme ça, j’ai peur”.
Une façon de “mettre une barrière entre moi et ce monde-là, celui du succès”, comme dans 50 Minutes toujours sur la première chaîne.
“Mes lunettes sont devenues une barrière de sécurité, un camouflage. Sans elles, je me sentirais très mal. Il me serait impossible d’aborder un concert ou une scène sans mes lunettes.“
Avec : public.fr