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Horreur : un époux meurtrier retrouvé étrangement pendu après l’assassinat de sa femme

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N’guetta Koua soupçonnant son épouse Dame Kouamé Yah âgée de 43 ans d’infidélité l’avait abattu à bout portant lors du réveillon de la Saint-Sylvestre avant de disparaître. C’était à N’Guessankro, une localité située à 20 km de Bongouanou en Côte d’Ivoire.

Image insoutenable, flouée (ndlr)

Après des jours de recherche, le meurtrier a été retrouvé dans le campement de monsieur Akpangni Adjé, où il avait trouvé refuge dans une étrange situation qui pourrait ressembler à une mise en scène de pendaison.

C’est dans un état de putréfaction avancée que les jeunes découvrent son corps le vendredi 4 janvier 2019 vers 8 heures, a-t-on appris auprès d’une source locale.

Vengeance punitive ou remords mortels ?

Alertée, la Gendarmerie, accompagnée du médecin-chef du Centre de Santé du village, a procédé à la constatation des faits et semble-t-il a conclu à un suicide par pendaison.

Mais les images de la découverte macabre suscitent bien des interrogations quant à la thèse du suicide. En regardant bien les images prises sur la scène du crime, plusieurs questions se posent, entre autres questions :

1- La fine corde de couleur rose, servant à coudre les sacs de cacao et qui est utilisée comme gibet de potence pour la circonstance, peut-elle supporter le poids d’un homme d’une soixantaine d’années ? Apparemment, non, la corde aurait rompu sous le poids. La ceinture noire de la culotte ferait son affaire.

2- Quelqu’un qui mesure 1 m 75 peut-il se pendre à moins d’un (01) mètre du sol ?

3- Peut-on se pendre assis ?

4- Des asticots sortent-ils du crâne d’un pendu ?

Aussi vrai que l’acte posé par N’Guetta Koua est répréhensible et lourdement puni par la loi pénale, il n’en demeure pas moins que la vengeance punitive administrée par X sur la personne de l’époux meurtrier est aussi punie par la même loi pénale.

Les images de la supposée pendaison parlent assez fortement pour croire à des remords mortels du supposé pendu.

Il pourrait bel et bien s’agir d’une vengeance punitive. Il reviendrait, dans ce cas, à la Gendarmerie d’élucider et d’arrêter les meurtriers.