Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

“Il me bascule sur le lit, me déshabille et me pénètre” : les récits inédits de nouvelles accusatrices de PPDA

Credit Photo : DR

Facebook
Twitter
WhatsApp

Le lundi 19 septembre 2022, le journal Libération a publié une enquête pointant une nouvelle fois du doigt les atrocités que l’ancien présentateur du journal de 20 heures de TF1 aurait fait subir à certaines femmes. A la longue liste des plaignantes, trois nouvelles victimes supposées viennent donc de s’ajouter, dont les écrivaines Margot Cauquil-Gleizes et Bénédicte Martin. 

Ces deux femmes ont avoué avoir porté plainte pour un vi0l et des agressions s3xuelles. Même si les faits ne donneront lieu à aucune poursuite en raison de la prescription, elles ont tenu à marquer le coup pour montrer leur vif soutien à toutes celles qui seraient tombées sous le joug de Patrick Poivre d’Arvor.

La première de ses supposées nouvelles victimes est Bénédicte Martin. Selon le récit que raconte Libération, à la suite du tournage, “PPDA finit par arriver dans un bureau, enlève ses chaussures et lui propose un verre de très bon rhum (…) Puis il lui fait admirer la vue sur la Seine. Avant de la saisir par la gorge en lui faisant une clef de bras, remonter sa jupe et tenter de l’embrasser “.

En plus d’avoir recueilli ce témoignage édifiant, Libération a donné la parole à deux autres femmes. Là encore, les récits recueillis sont terrifiants. Celui de Margot Cauquil-Gleizes, qui est désormais une enseignante âgée de 53 ans. 

Son histoire remonte à l’automne 1984, alors qu’elle n’avait que 16 ans. Après avoir rencontré PPDA, celui-ci lui aurait demandé “quel genre de sous-vêtements elle porte”. Avant de le revoir quelques mois plus tard. Et là, le drame : 

“Quand il m’ouvre, je suis un peu surprise, car c’est une toute petite chambre, pas une suite, et je me dis immédiatement : Mais où va-t-on se poser ? Il n’y a qu’un lit. Il me bascule sur le lit, me déshabille, me pénètre. Ça dure cinq minutes à peine. Je reste complètement passive, je ne comprends pas ce qui m’arrive” , a raconté Margot Cauquil-Gleizes à Libération.