Jacques entretint dans les années 70, une relation passionnée avec Jacqueline Chabridon, une journaliste du Figaro. Bien des années après leur rupture, cette dernière a épousé un éminent neurologue qui n’était autre que le médecin du président.
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Jacques Chirac, décédé la semaine dernière à l’âge de 86 ans, était un séducteur. Un homme qui aimait les femmes et ne s’en est jamais caché, même aux yeux de son épouse Bernadette, rencontrée sur les bancs de Sciences-Po en 1951 et avec qui il a passé 63 ans.
Si la mère de ses filles fut son socle, elle est restée à ses côtés jusqu’à la fin. Jacques Chirac vécut une grande passion avec Jacqueline Chabridon, une journaliste du Figaro. En 1975, cette dernière est missionnée par son journal pour réaliser un portrait de Jacques Chirac, alors Premier ministre de Valéry Giscard d’Estaing.
« La première rencontre des futurs amants a lieu à Clermont-Ferrand. Avec ses confrères de la presse écrite et audiovisuelle, Jacqueline suit les déplacements du Premier ministre. Elle l’observe, il l’ignore», rapporte Madame Figaro. Très épris, Jacques Chirac aurait même envisagé de quitter son épouse tandis que Jacqueline, elle aussi mariée et mère d’une petite fille, rêvait de vivre leur amour au grand jour.
La raison d’état, et l’influence de Mari-France Garaud la conseillère du président, aura raison de la belle histoire et les deux amants terribles vont finalement se séparer après plusieurs mois d’une idylle passionnée.
Très marquée par cette rupture, la jeune femme quitte son mari puis épouse le journaliste Alain Fernbach. Elle divorce à nouveau quelques années plus tard et retrouve l’amour dans les bras d’un certain Olivier Lyon-Caen.
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Ironie de l’histoire, ce dernier est loin d’être un inconnu. Éminent neurologue, il fut le médecin de Jacques Chirac jusqu’à sa mort la semaine dernière. C’est lui qui révéla dans son rapport médical que le président souffrait d’anosognosie peu avant son dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris.
Avec First Magazine