Le step, la zumba, la pole dance, etc., elles sont nombreuses ces danses qui permettent de muscler les fesses. Si certains crient à l’hypersexualisation de la femme, d’autres y voient au contraire un effet cathartique et une véritable libération du corps.
Après ces danses précitées, une nouvelle tendance fait son arrivée dans les salles de sport : le “booty shake” ou “twerk”. Il consiste à faire vibrer ses fesses rapidement au rythme de la musique. Pendant plus d’une heure, les adeptes se déhanchent et se défoulent sur le modèle de danses africaines traditionnelles, comme le mapouka originaire de Côte d’Ivoire.
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Bouger ses fesses de manière frénétique permet de reprendre conscience de son corps et de ses sensations, estiment les promoteurs.
Un mouvement du corps que se sont réappropriée des rappeuses comme Nicki Minaj, l’Américaine bien connue pour son fessier.
La danse devient alors revendicative, et même féministe. Mais les femmes ne sont pas les seules adeptes du booty shake, les hommes aussi expérimentent un nouveau rapport à leur corps.
