35.000 tonnes de sachets plastiques non-biodégradables sont saisies à Lomé afin d’être broyés et recyclés. Cette opération qui est une réussite, est une manœuvre conjointe des ministères du Commerce et de la Sécurité.
Malgré les nombreuses interdictions de production et de commercialisation de ces produits, force est de constater que plusieurs industries de production et consommateurs y sont restés indifférents et continuent d’utiliser ces produits. La loi adoptée le 5 janvier 2011 semble être sans effet. Il ne faudra donc plus y aller de main morte. “Ces opérations se poursuivront sur les différents marchés.”, a souligné Bernadette Leguezim-Balouki, ministre du Commerce.
Rappelons que les sachets plastiques non-biodégradables constituent une source de pollution considérable qui est l’une des causes du réchauffement climatique.