Réagissant à la mort tragique de la chanteuse Osinachi Nwachukwu dans un message sur Facebook, Deborah, la fille du pasteur Paul Enenche du Dunamis International Gospel Center, a déclaré que son père avait plaidé contre les mariages malsains, ajoutant que tout avait été fait pour qu’Osinachi soit retirée de sa situation.
« Mon père a toujours été un défenseur pour se retirer d’un mariage profondément malsain. Il est répandu dans tout le tissu de son ministère le fait qu’il a toujours veillé à ce que les faibles soient protégés. Ce n’est pas différent dans cette situation. Tout a été fait pour que la défunte soit retirée de sa situation et au lieu de cela, elle a été soignée autant que possible.
Gardez à l’esprit qu’il n’y avait aucune connaissance de la violence physique. Si cela avait été révélé, nous ne serions pas ici », a-t-elle déclaré.
Elle a promis de veiller à ce que justice soit rendue et que le mari soit confronté à toute l’étendue de la loi. Enenche a assuré que de nombreuses mesures seront prises pour protéger les enfants et la famille de la défunte chanteuse.
« J’ai été incapable de dormir ces derniers jours en raison de ma fureur face à la sortie prématurée et évitable d’une voix générationnelle. Elle m’a inspiré à courir après Dieu. Je ne peux pas exprimer le choc que j’ai ressenti en entendant cela. Ce qui est pire, c’est que je ne connaissais pas les faits réels de sa vie car je ne me livre pas à des commérages ou ne fouille pas dans la vie des autres.
Cela étant dit, j’aurais vraiment aimé mieux la connaître. J’aurais aimé pouvoir faire plus pour elle. J’aurais aimé être conscient de toute la douleur qu’elle a vécue. Je vais faire ce que je peux faire maintenant que je connais les faits. J’ai également appris que beaucoup de ceux qui la connaissaient personnellement n’étaient pas tout à fait au courant de sa situation. Il est encore plus décourageant de savoir, d’après le récit de sa sœur jumelle, qu’elle ne laisserait pas son père spirituel prendre conscience de la gravité des abus qu’elle a subis.
Cela éclaire donc la façon dont j’aborde les choses. Il y a tellement de choses à dire, mais il faut tellement de discrétion. Je ne suis cependant pas du genre à savoir rester muet sur les questions qui m’affectent potentiellement, moi et ceux qui m’entourent. J’ai aussi une responsabilité financière envers les jeunes qui m’admirent ainsi que mon rôle dans le corps du Christ et dans la société. Cela étant dit, afin de ne pas être mal interprété. Je serai bref !
1. Le défunt était très isolé de ses proches. Une grande partie de ce qui s’est passée, en fin de compte, aurait pu être évitée si elle n’avait pas été abandonnée par ceux qui s’occupaient le plus d’elle. Je crois qu’elle n’est pas seulement décédée à cause des blessures physiques et de la douleur; elle est morte d’un cœur brisé. Personnellement, je ferai de mon mieux pour m’assurer que la partie fautive dans l’équation soit punie dans toute la mesure permise par la loi. Il n’ira pas sans scot.
De nombreuses mesures seront prises pour protéger également les enfants et sa famille.
2. Beaucoup sont prompts à tirer des conclusions hâtives sur des choses dont ils ne savent rien. Le choc collectif approximatif que nous ressentons n’est pas comparé à celui de la douleur des personnes qui ont été si fortement impliquées à la fois physiquement, financièrement, spirituellement et même légalement en essayant de sortir quelqu’un d’une situation vraiment cauchemardesque qui ne pouvait vraiment être absous que par les parties impliquées ».
