La pygophilie, qui est une tendance à aimer les grosses fesses, est le mal dont souffre assez d’hommes aujourd’hui. Cette nouvelle tendance en vogue, fait même partie des critères de sélection de femmes, de certains parmi eux. Voici ce qu’il faut savoir sur ce phénomène.
A en croire les études menées par des scientifiques, surtout celles du Professeur Gordon G. Gallup de l’Université d’Albany, la Pygophilie a des raisons inconscientes, qui sont liées aux origines de l’espèce et au potentiel de perpétuation de cette dernière, forcément synonyme de fessiers généreux.
Il poursuit en ajoutant que l’attirance de l’homme pour les fesses rebondies, avérée par de nombreuses études n’aurait absolument pas de lien avec une obsession charnelle crue ou déplacée.
Mais elle serait plutôt en lien avec des informations scientifiques enregistrées dans ses gènes, comme un atavisme remontant aux plus lointaines origines de l’espèce.
Par ailleurs, les études du professeur Gallup, croisées avec d’autres, démontrent que des connexions existent entre la graisse située dans les fessiers rebondis des dames à la silhouette en forme de sablier et l’intelligence des enfants auxquels elles donnent naissance.
Ces cellules graisseuses, ou graisse glutéo-fémorale, seraient indispensables au bon développement du fœtus.
Ceci viendrait donc justifier scientifiquement l’attirance inconsciente des hommes pour les femmes aux fessiers rebondis.
La pygophilie est également, synonyme de fertilité et d’assurance d’une descendance en bonne santé.