Le groupe Ecobank apporte son soutien au Fonds mondial

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Mark Dybul, Directeur exécutif du Fonds mondial
Mark Dybul, Directeur exécutif du Fonds mondial

Le groupe Ecobank a renouvelé, par le biais de sa fondation, son partenariat avec le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, qui date de 2011, pour une nouvelle période de trois ans (2017-2019).

La cérémonie de signature s’est déroulée la mi-septembre à Montréal (Canada), au cours de l’événement, « Changer l’Afrique : favoriser la croissance par le biais du secteur privé », tenu en marge de la cinquième conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial.

Conformément aux termes de l’accord, la Fondation Ecobank continuera de travailler avec le Fonds mondial pour que le partenariat aboutisse au développement d’un engagement et d’une plateforme de promotion pour les organisations et les individus qui partagent un même objectif : accélérer la transformation de l’Afrique.

Ade Ayeyemi, PDG du groupe Ecobank, s’est engagé à fournir 3 millions de dollars lors de cette conférence qui a permis de rassembler près de 12,9 milliards de dollars, dans le but de sauver plus de 8 millions de vies humaines.

« Notre travail en tant que banquiers est de construire l’infrastructure technique permettant d’intégrer des dizaines de millions d’Africains à un système financier plus formel. Les pères fondateurs d’Ecobank ont créé une banque panafricaine afin de soutenir la transformation de l’Afrique. Nous sommes heureux de renouveler notre partenariat fructueux avec le Fonds mondial. Je suis convaincu que nous venons de franchir une étape supplémentaire vers une Afrique plus prospère », a déclaré Ade Ayeyemi.

Ade Ayeyemi, PDG du groupe Ecobank
Ade Ayeyemi, PDG du groupe Ecobank

Au cours de la cérémonie de signature avec Mark Dybul, Directeur exécutif du Fonds mondial, Julie Essiama, Directrice générale de la Fondation Ecobank a déclaré être ravie de partager ce moment historique avec le Fonds mondial. « Notre tâche est de créer une ‘Afrique en croissance’ et un continent prospère. Il est important que le secteur privé collabore afin de garantir que nous utilisions nos plateformes pour débloquer les fonds qui permettront de donner lieu à un progrès durable et à la prospérité de l’Afrique », a-t-elle souligné.

Il faut noter que les programmes soutenus par le partenariat du Fonds mondial ont permis à 9,2 millions de personnes de bénéficier d’un traitement antirétroviral pour le VIH, à 15,1 millions de personnes de bénéficier d’un traitement contre la tuberculose et ont distribué 659 millions de moustiquaires afin de protéger les familles contre le paludisme.

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