Parmi les plats les plus délicieux qui existent dans ce monde, certains sont très dangereux pour la santé. Voici les 7 plats les plus dangereux au monde selon le site Welovebuzz :
1. Le casu marzu
C’est un fromage italien de Sardaigne, dit « fromage pourri », qui est infesté de larves introduites durant la maturation du fromage. Mais certains biologistes estiment que cette spécialité culinaire est dangereuse pour la santé : certaines larves pourraient résister aux sucs gastriques et s’installer dans l’intestin, causant notamment maux de ventre, vomissements et diarrhées sanglantes.
2. La grenouille-taureau
Mangée entièrement, c’est un plat traditionnel en Namibie. Malheureusement, certaines parties de l’animal peuvent s’avérer très dangereuses et causer des insuffisances rénales.
3. Le Coprin noir d’encre
C’est un champignon commun inoffensif. Mais, s’il est consommé avec de l’alcool, il peut provoquer malaises, vomissements, ou encore la tachycardie ( augmentation du rythme cardiaque).
4. Le manioc
C’est une plante-racine tropicale cultivée en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie. Très utilisé, cet aliment n’en est pas moins très dangereux s’il n’est pas cuisiné correctement : il contient du glycoside cyanogène, qui est une toxine naturelle, donc il faut le cuir à ébullition afin de réduire les toxines. Un conseil à retenir en cas de séjour prolongé dans la jungle.
5. Le fugu
Nommé poisson-globe, Il est plein de tétrodotoxine, un poison qui s’attaque au système nerveux et cause une paralysie progressive jusqu’à la mort dans un délai de 4 à 6 heures. C’est un plat très connu au Japon, qui ne peut être servi qu’avec une licence autorisant à le préparer dans un restaurant.
6. La chair de requin
Elle contient une forte concentration d’acide urique : un vrai poison pour l’homme.
7. Un poulpe vivant
Appétissant pas vrai ? Et pourtant, c’est une tradition culinaire en Corée du sud. Parfois les poulpes ne se laissent malheureusement pas manger sans résistance et restent parfois accrochés dans la gorge. Ainsi, le sannakji serait responsable en moyenne de 6 décès par étouffement chaque année.
