« Nous allons accueillir les routards, mais nous n’allons pas cibler les personnes qui expliquent sur Facebook comment elles peuvent voyager à travers notre pays avec 10 dollars néo-zélandais (4100 Fcfa) par jour en mangeant des nouilles instantanées », tels sont les propos affirmés par le ministre néo-zélandais.
Une déclaration qu’on pourrait conclure, en estimant que la Nouvelle-Zélande ne souhaite plus avoir affaire aux baroudeurs.
Ainsi, selon le ministre néo-zélandais chargé du tourisme, le pays océanien veut avant tout accueillir des voyageurs avec un budget important, rapporte The Guardian.

La Nouvelle-Zélande se concentre sur les touristes « de haute qualité » qui sont de « gros dépensiers », a déclaré Stuart Nash lors de l’annonce d’un plan gouvernemental pour la réouverture du tourisme.
Ce n’est pas sa première déclaration dans ce sens : Stuart Nash assurait déjà deux ans plus tôt que le pays devait attirer les touristes qui « volent en classe affaires ou en classe économique premium, louent un hélicoptère, font un tour autour [du glacier] Franz Josef et mangent ensuite dans un grand restaurant », une proposition lui valant des accusations d’élitisme et de snobisme.