« Je les ai avertis que ça pouvait détruire Beyrouth si ça explosait », a confié à Reuters une source sécuritaire libanaise haut placée, dévoilant par la même occasion, l’existence d’une lettre confidentielle à ce sujet transmise au Président Aoun et au Premier ministre Diab en date du 20 juillet, soit 2 semaines avant le drame.
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En effet, selon Reuters, en plus de la missive, un rapport a été transmis à la même date à ces 2 personnalités du pays. Ledit document résume les conclusions d’une enquête judiciaire ouverte en janvier et dirigée par le procureur général Ghassan Oweidat.
Ce dernier dans son document avait demandé aux autorités de sécuriser immédiatement le stock de nitrates d’ammonium se trouvant au port de Beyrouth après que des manquements aux consignes de sécurité ont été constatés.
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« Il y avait un risque que ce matériau, s’il était volé, puisse être utilisé dans une attaque terroriste », expose la source qui prétend avoir participé à la rédaction de la lettre en question.
Contactés par Reuters au sujet de cette lettre confidentielle, les cabinets du Président de la République et du Premier ministre se sont refusés à tout commentaire.