Le vendredi 21 août 2020, un vent d’espoir pour la paix soufflait sur la Libye après l’annonce d’un cessez-le-feu par les 2 camps rivaux en guerre. Mais une dernière sortie du Haut Conseil d’Etat libyen semble ramener la peur dans le cœur des Libyens.
Libye : un festival équestre à Tripoli pour célébrer le cessez-le-feu
« Nous déclarons la nécessité d’un travail sérieux pour mettre fin à l’état de rébellion dans le pays par un cessez-le-feu immédiat, et pour permettre au gouvernement d’union nationale d’étendre son contrôle sur l’ensemble du territoire libyen. Deuxièmement, le rejet complet de toute forme de dialogue avec le criminel de guerre terroriste Haftar », a annoncé Mohamed Bnias, porte-parole du Haut Conseil d’Etat libyen.
Une déclaration faite ce samedi à Tripoli alors que des cavaliers Libyens étaient réunis à l’école d’équitation pour un festival d’équestre pour célébrer l’union des 2 camps rivaux.
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Par ailleurs, le Haut Conseil d’Etat libyen déclare qu’il demanderait des comptes à toute personne responsable de la fermeture des champs et ports pétroliers du pays. L’accès aux ports pétroliers était, en effet, contrôlé par des forces loyales au maréchal Haftar depuis janvier.
