Hiver et baisse des températures sonnent l’horloge des repas riches en gras. Une bonne majorité de personnes le fait, fidèle à une vieille croyance disant que pour combattre le froid, il faut plus de gras pour que le corps ait davantage à brûler et maintenir la température du corps à 37 °C.
Mauvaise idée ! Cette pratique est plutôt handicapante pour l’organisme dans son combat contre le froid. Dans notre environnement actuel, rapporte Maxisciences, “nos besoins en énergie ont considérablement diminué”, expliquait à l’Obs le professeur Pierre Déchelotte.
La digestion des aliments trop riches nécessite une production supplémentaire d’enzymes, effort qui fatigue le corps. Il se retrouve avec moins d’énergie pour combattre les rhumes et autres maladies fréquents en hiver.
Des produits industriels transformés comme les confiseries et chocolats de Noël, riches en graisses et sucre perturbent la flore intestinale. Outre cela, ils abaissent la résistance du corps aux bactéries présentes en nombre dans les espaces confinés où l’on s’abrite du froid, rapporte Cnews.