L’expression “médecine alternative” recouvre un vaste ensemble de pratiques et de traditions médicales qui ne font pas partie de la médecine conventionnelle occidentale.
On les appelle aussi “médecines complémentaires et alternatives” (MCAM), car elles peuvent être utilisées en complément ou en substitution de la médecine traditionnelle.
Parmi les MCAM les plus connues, on trouve :
L’acupuncture une technique chinoise utilisant des aiguilles fines pour stimuler des points spécifiques ; homéopathie une méthode thérapeutique utilisant des dilutions de substances naturelles ; l’ostéopathie une thérapie manuelle qui vise à rééquilibrer le corps.
La naturopathie une approche holistique qui vise à stimuler les capacités naturelles de guérison du corps. La phytothérapie: l’utilisation de plantes et de leurs dérivés pour soigner.
Le recours aux MCAM est en constante augmentation dans le monde entier. En France, plus d’un tiers de la population a déjà eu recours à une médecines alternatives
Cet engouement s’explique par plusieurs facteurs : Une recherche de bien-être et d’une approche plus globale de la santé. Une insatisfaction face à la médecine conventionnelle, jugée trop symptomatique et techniciste. Un développement des formations et des structures d’accueil pour les praticiens L’efficacité et la sécurité des MCAM font l’objet de nombreux débats. Si certaines études scientifiques ont montré des résultats positifs pour certaines MCAM, d’autres études n’ont pas été concluantes.
Il est important de noter que les MCAM ne sont pas un substitut à la médecine conventionnelle et qu’il est important de consulter un médecin avant d’entreprendre un traitement.
