Le palais de Buckingham a ouvert une enquête sur Meghan Markle. Elle est accusée de harcèlement moral et d’intimidation par d’anciens membres de son personnel.
Au lendemain des révélations choquantes, Buckingham palace a à travers un communiqué affirmé être » clairement très préoccupés par les allégations du Times », arguant que la duchesse de Sussex a fait preuve de cruauté avec son personnel de Kensington. « En conséquence, notre équipe des ressources humaines examinera les circonstances décrites dans l’article. Les membres du personnel impliqués à l’époque, y compris ceux qui ont quitté le foyer, seront invités à participer pour voir si des leçons peuvent être tirées. »
Cependant, selon le magazine américain People et le journal britannique The Sunday Times, une équipe d’avocats indépendants a été invitée à prendre part à l’investigation, décision qui rassurera certainement le prince Harry et son épouse. Ces derniers redoutaient que l’affaire se déroule dans l’entre-soi de la Firme donc soit teintée d’une certaine partialité.

Gala rapporte que le scandale a éclaté à la suite de l’annonce de l’interview vérité de Meghan Markle et du prince Harry avec Oprah Winfrey. l’ex-actrice tantôt accablée, tantôt soutenue par les internautes a dénoncé une campagne de « désinformation trompeuse et nuisible » orchestrée par la famille royale, et notamment par Kate Middleton et Camilla Parker Bowles.
Sur les réseaux sociaux, ses amis et anciens collègues se sont érigés en ses défenseurs.
« Le système de fonctionnement de Meg a toujours été basé sur la gentillesse. La bonté fait partie intégrante d’elle », a témoigné Lindsay Roth, l’une de ses meilleures amies. « Je sais ce que je dis après 22 années d’amitié très étroite. J’ai vu de mes propres yeux comment elle traite ses amis et leurs familles, et ses collègues. » Le scénariste de la série Suits, entre autres ex-collègues, feuilleton ayant révélé Meghan Markle au grand public, a aussi pris la parole. « Il est possible que la duchesse de Sussex soit une bonne personne plongée dans un monde inimaginable », a ainsi nuancé Jon Cowan. Ce même univers dans lequel l’intéressée a avoué avoir été en proie à des pensées suicidaires.