« Je savais, en agrippant mon premier-né, que je perdais mon deuxième ». Dans un texte très émouvant qu’elle signe dans les colonnes du New York Times ce mercredi 25 novembre, Meghan Markle a révélé avoir fait une fausse couche. C’est en juillet dernier que la maman d’Archie a perdu son bébé. Malgré le Megxit qui a fait des remous en début d’année, la famille royale aurait soutenu l’épouse du prince Harry dans cette épreuve.
Pourtant, elle n’aurait pas prévu de communiquer sur le sujet. Il s’agit d’une « question profondément personnelle sur laquelle nous ne ferons aucun commentaire », selon le Palais, indique le Mirror. Pourtant, une source proche précise qu’il y aurait « une tristesse compréhensible au sein de la famille royale ».
Si elle préfère le silence à l’expression des émotions, ce serait davantage par tradition que par insensibilité. « Les membres de la famille royale ont pour la plupart l’habitude d’appliquer ce mantra, de ne jamais se plaindre. Nous ne les entendons pas ouvrir leur cœur », a observé dans BBC 5 Live la spécialiste de la royauté de Vanity Fair Katie Nicholl. C’est en privé qu’ils auraient déjà soutenu la duchesse de Sussex et son mari l’été dernier.
S’ils n’ont pas été surpris et n’ont pas réagi au texte de Meghan Markle ce mercredi 25 novembre, c’est parce qu’ils avaient eu connaissance depuis plusieurs mois du drame qu’elle a traversé avec le père d’Archie. « Je crois comprendre qu’ils les ont beaucoup soutenus. Ils étaient au courant de ce qui s’était passé, Harry était en contact permanent avec eux pendant l’été », a expliqué Katie Nicholl. Ce n’est pas la première fausse couche à laquelle la famille royale est exposée. La cousine du prince Harry, Zara Tindall, a perdu son bébé à deux reprises en 2016, puis en 2018. Des épreuves qu’elle avait aussi fait le choix de raconter.
Avec Gala.