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Michael Jackson : les terribles détails de sa pénible autopsie

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Le mystère autour de la mort de Michael Jackson est loin d’être dissipé.

Le chanteur américain a été retrouvé mort le 25 juin 2009, choquant le monde. Le bilan disait qu’il a été terrassé par une crise cardiaque due à une overdose d’anesthésiques administrés par son médecin, Conrad Murray ; mais des secrets autour de ses derniers jours continuent de refaire surface Onze ans après.

Les médecins légistes avaient gardés secrètes certaines informations après avoir fait l’autopsie du corps de l’artiste qui était très endommagé par son mode de vie fait “de chirurgie, d’abus de médicaments sur ordonnance et d’une apparente bataille contre l’anorexie”. 

Médicaments, chirurgie

Comme le rapporte The Mirror, étant en sous-poids, il n’ingérait plus que des médicaments, d’ailleurs retrouvés dans son estomac, le reste de son corps étant couvert de traces de piqûres destinées à lui administrer les analgésiques qu’il réclamait à son médecin. Des traces d’anxiolytique lorazepam, d’hypnotique midazolam, du diazépam, de la lidocaïne et de l’éphédrine y ont été aussi trouvés. Gala rappelle que Conrad Murray a été condamné à quatre ans d’emprisonnement pour homicide involontaire avant d’être libéré.

Pour la chirurgie esthétique, Michael Jackson n’y est pas allé de main morte. Multiples rhinoplasties, trou béant à la place du nez, bref le bilan de plusieurs années d’abus selon le docteur Pamela Lipkin.

“Je crois que ce qui a pu arriver, c’est que quelque chose dans son nez, une greffe, un implant, quelque chose est sorti au travers de sa peau”, a-t-elle confié au magazine Allure. “C’est sans doute pourquoi il y a un trou. (…) Ça arrive aux gens dont le nez a été tant de fois retouché qu’il ne reste plus grand-chose à travers quoi respirer. ” Selon elle avec ce nez ou ce qu’il en restait, “le chanteur avait atteint le point de non-retour”. 

Mais il y avait autre chose, indique The Mirror : ses genoux, son dos et ses tibias montraient qu’il avait dû faire une chute assez grave les jours avant sa mort.