Promoteur ivoirien de spectacles vivant en France, Mike le Bosso, récemment sorti de prison, a fait des révélations surprenantes sur sa vie dans une interview avec le journaliste Guillaume Vergès.
“J’ai connu le fétiche dans la musique… je me cachais pour aller tuer les bœufs, les cabris pour faire des trucs…”, a-t-il confié précisant qu’il le faisait par suivisme, séduit par la force de persuasion de Jean Marie Adiaffi, le parrain du bossonnisme, d’où lui vient d’ailleurs son surnom “Bosso”.
Mais avec le temps, à la recherche du succès dans le show-biz, il s’y est davantage enfoncé. “Tous mes spectacles, avant de les faire, je faisais le fétiche avant…il fallait laver la salle, verser des potions à l’entrée pour que les gens viennent, en fait c’est quelque chose où tu as l’impression que tu es plus fort que tout le monde…”.
Toutefois, celui qui est issu d’une famille profondément chrétienne, semble ne plus y croire, rapporte Abidjan Show, cette partie de sa vie appartenant désormais à son passé.
