Père de 4 enfants, Mix Premier va bientôt se marier avec la mère de ses enfants. Interrogé sur le sujet, l’artiste n’a pas pu s’empêcher de répondre à la chroniqueuse Konnie Touré.
C’est sur le plateau de Life TV, à l’émission Life Week-end, que Mix Premier, artiste chanteur de nationalité ivoiro-béninoise, a annoncé son mariage avec sa dulcinée.
Mix Premier a d’abord confié qu’il est “fiancé, mais pas marié” avec des enfants. « Je suis père de quatre enfants, deux filles et deux garçons », a-t-il confié. « Le mariage, c’est pour quand ? », a demandé une chroniqueuse. Et à DJ Mix Premier de répondre sans hésiter : “Très bientôt ! On va dire, en 2022”.
Sur le parcours de DJ Mix Premier
Le chanteur DJ Mix Premier a quitté les bancs d’école en classe de troisième à cause de la musique. Il s’est fait connu grâce à son featuring Bobaraba sortie en 2007 avec DJ Elloh.
Issu d’une famille recomposée, Mix Premier, décide de quitter la cellule familiale pour réaliser son rêve d’enfance : être un DJ. Plutôt, sa mère a radicalement fermé son maquis où le jeune Emile avait déjà commencé à prendre goût à ce métier. Objectif, empêcher son enfant d’entrer dans le cercle vicieux de la nuit.
Alors qu’il n’avait que 16 ans, Mix Premier a quitté la maison afin de prendre en charge sa famille. Il traversera une période de galère avant de rencontrer le célèbre manager et producteur d’artistes, Charly Bonga dans une virée nocturne à Marcory.
Sans hésiter, Charly Bonga lui confie, selon les faits rapportés par Afrique sur 7 sa cabine et autres platines de son maquis.
Ce qui a permis à Mix Premier de faire vibrer les noceurs debout toute la nuit à la grande joie de son boss Charly Bonga.
À l’époque, malgré qu’il soit devenu artiste chanteur dans la capitale économique ivoirienne, Mix Premier a continué à travailler pour son patron pendant un an avant de devenir indépendant chanteur du Coupé décalé.
Pendant ce temps où il se cherchait, sa mère est rentrée chez elle au Bénin. Ils se sont revus plus tard lors de son premier concert le 11 novembre 2011 à la salle Anoumabo du Palais de la culture d’Abidjan.
