Il y a à peine 50 ans, on le décrivait comme étant parmi les pays les plus misérables du monde.
Aujourd’hui, il fait partie des pays où l’on se sent le plus en sécurité, le vol n’existe quasiment pas, ce qui peut expliquer qu’on ne trouve pas de coffre-fort dans les chambres d’hôtels.
Les citoyens bénéficient de la gratuité de l’éducation ainsi que des soins médicaux. En plus de tout ceci, chaque habitant se voit offrir gratuitement à sa majorité un terrain dans lequel il pourrait faire bâtir un logement et pendant la fête nationale, le Sultan accorde une suspension de tout crédit.
Les particuliers ne payent pas d’impôts, seul les entreprises le font. L’adultère est puni par la prison, on ne connait ni chômage ni pauvreté, ce pays c‘est l’Oman.
Situé au sud-est de la péninsule arabique, ce pays n’était qu’un pays rétrograde où régnait la pauvreté avant que le feu sultan Qabous Ben Saïd ne monte sur le trône et change tout.
En effet aidé par les Anglais en 1970, il remplace son père à la tête du pays et depuis lors jusqu’à aujourd’hui le pays prospère grâce aux actions du sultan. Ces 50 dernières années, il a notamment sorti le pays de l’état de détresse dans lequel il était et l’a dirigé dans la voie du développement.
La production pétrolière fait la richesse d’Oman puisqu’il fait l’équivalent de 64% du PIB. Sa force est de parvenir à préserver son identité au contraire des pays comme les Emirates arabes-unis qui suivent les tendances européennes en faisant la course aux grattes-ciels avec le monde entier.
Que demander de plus pour obtenir une société normale et saine. De plus, les logements sociaux sont attribués gratuitement pour les nécessiteux qui sont couramment les veuves, les personnes handicapées ou les Beaudouins.
Avec un tel travail accompli du feu monarque Qabous Ben Saïd qui laisse la place à son cousin Haitham Ben Tarek après 50 ans de règne, le peuple ne peut que lui rendre tout l’amour qu’il lui porte.
Ces portraits sont suspendus dans tous les hôtels, dans tous les bureaux, des chansons lui sont dédiées et bien d’autres. Et donc les habitants ne témoignent pas uniquement leur amour pour leur sultan, ils ont également beaucoup de gratitude.