Nabil Djellit : « Au Cameroun, ça peut être une boucherie entre Eto’o et Brys, en cas de … »

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Crédit photo : DR

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Nabil Djellit voit planer l’ombre d’une guerre sans merci entre le président de la FECAFOOT, Samuel Eto’o et Marc Brys, l’entraîneur du Cameroun après la défaite contre le Cap-Vert.

En effet, le Cameroun a sombré ce mardi 9 septembre à Praia. Battus 1-0 par le Cap-Vert lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, les Lions indomptables voient leur horizon s’obscurcir. En face, les Requins bleus, eux, s’envolent vers une qualification historique.

Le héros du soir s’appelle Dailon Livramento. Après avoir chipé le ballon aux Lions Indomptables, l’attaquant a inscrit l’unique but de la rencontre en deuxième période.

Derrière, le gardien Vozinha a multiplié les arrêts décisifs pour repousser toutes les tentatives camerounaises.

Avec encore deux matchs à jouer (Libye à l’extérieur, Eswatini à domicile), une victoire suffirait désormais aux Capverdiens pour valider leur tout premier billet pour une phase finale de Coupe du monde. Mais pour le Cameroun, il reste encore du pain sur la planche.

Nabil Djellit : « Au Cameroun, ça peut être une boucherie entre Eto’o et Brys, en cas d’élimination »

« Le Cap-Vert vient de réussir un coup magistral contre le Cameroun grâce à Livramento. Je ne vois pas comment le Mondial peut leur échapper avec un dernier match contre Eswatini », a commenté le journaliste Nabil Djellit sur son compte X.

Avant d’ajouter : « En revanche, au Cameroun, ça peut être une boucherie entre Eto’o et Brys, en cas d’élimination. »

La tension entre les deux décideurs du football camerounais ne date pas d’aujourd’hui. Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise, n’a jamais caché ses doutes sur Marc Brys.

Une élimination acterait probablement l’explosion de leur conflit. « Eto’o va être intenable, lui qui a toujours demandé le départ de Brys », a estimé un observateur.

De son côté, le technicien belge pourra arguer qu’il n’a jamais trouvé « un climat propice » pour travailler sereinement.

Romain Molina a aussi confirmé cela : « La régularité du Cap-Vert malgré un faible réservoir de joueurs est impressionnante.

Quant au Cameroun, il y a eu plus d’envie pour se faire la guerre en interne que pour aligner la meilleure équipe possible. Peut-on vraiment parler de surprise après ce revers ? »

Deuxième du groupe D derrière le Cap-Vert, le Cameroun reste en position de se qualifier. Mais à deux journées de la fin, les Lions indomptables sont désormais dos au mur.

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