Les Nigériens sont enfin rassurés sur la tenue d’un second tour pour la présidentielle débutée en décembre dernier.
La Cour constitutionnelle du Niger a donc autorisé que l’ancien président Mahamane Ousmane et Mohamed Bazoum, candidat du pouvoir en place, puisse s’affronter dans les urnes le 21 février pour ce second tour.
Pour la Cour, à l’issue du premier tour, M. Bazoum, ancien ministre de l’Intérieur a eu 39,33 % des suffrages contre 16,99 % pour l’ex-président Ousmane pour un taux de participation est de 69,68 %, soit 5,1 millions de votants.
Il est lieu de préciser donc que la demande d’annulation partielle ou totale du premier tour réclamée par des candidats de l’opposition a donc été rejetée par la Cour constitutionnelle.
Avec Africanews