Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Pen-Togo fait germer des écrivains grâce à un atelier sur la non-fiction

Facebook
Twitter
WhatsApp

L’association PEN-Togo a rassemblé les amoureux des lettres pour un atelier d’écriture ce samedi 25 février 2023.

Cette rencontre a permis à une cinquantaine de littéraires de se familiariser avec la « Creative Non-fiction ».

L’animateur choisi pour décortiquer le sujet est Dr. Anas Atakora, un écrivain et professeur d’Université.

Auteur de « Traces de parcours : creative non-fiction », cet écrivain a parlé aux participants de son livre qui relate ses expériences personnelles.

Il leur a également montré la technique pour écrire une non-fiction.

La non-fiction vulgarisée grâce à PEN-Togo

La « non-fiction » est moins populaire que le roman. Selon les explications de Dr. Anas Atakora, il s’agit « d’histoires réelles bien écrites ».

Contrairement à la fiction, la non-fiction regroupe l’ensemble des écrits ne relevant pas d’un processus pur d’imagination.

Le but visé par PEN-Togo à travers son atelier d’écriture est de vulgariser ce genre au Togo.

« On a un retard à rattraper par rapport à l’espace anglophone qui est plus outillé sur ce genre littéraire », a déploré le secrétaire de PEN-Togo, Ayi Renaud Dossavi-Alipoeh.

Pourtant, «la non-fiction à travers son format offre encore plus de liberté d’écriture », a-t-il ajouté.

Il étaye ses propos en expliquant que « c’est une formule intéressante pour permettre aux gens d’écrire malgré les occupations de plus en plus grandissantes. »

Dr. Anas Atakora pour sa part indique que : « La non-fiction est un genre qui est ouvert à tous ».

« J’espère que les participants pourront aussi transmettre à d’autres l’amour de ce genre », a-t-il vivement souhaité.

Son message a été accueilli favorablement. Selon une participante très satisfaite de l’atelier : “Ça fait un plus d’apprendre à faire la différence entre la fiction et la non-fiction”.

“Pour écrire, on a tendance à chercher loin, alors qu’on peut partir de la base de notre vécu », a conclu Djobo Roukeya.