Vladimir Poutine était un espion pendant la guerre froide. Officier du KGB, le principal service de renseignement de l’URSS post-stalinienne, il était en poste à Dresde au moment de la chute du Mur. Il a commencé sa carrière politique à la mairie de Saint-Pétersbourg, puis est devenu l’un des plus proches conseillers du président Boris Eltsine, qui l’a nommé directeur du service fédéral de sécurité en 1998, puis président du gouvernement de Russie l’année suivante.
Vladimir Poutine a une façon peu commune de faire des affaires, une vieille connaissance dans sa vie, une enseignante qui l’a sauvé de la violence des citoyens soviétiques où la situation financière du peuple était très mauvaise. Vladimir Poutine est devenu le favori de sa professeure. Elle lui a enseigné la culture russe et il s’est passionné pour elle.
A l’âge de 16 ans, il veut rejoindre le centre d’espionnage du pays, mais il est trop jeune et les soldats qui assurent la sécurité du bâtiment lui conseillent de travailler dur pour avoir de bonnes notes. Le rêve de Vladimir Poutine était d’espionner le côté ouest du mur de Berlin, il veut servir son pays d’une manière plus importante que de sacrifier sa vie pour le peuple.

En 2000, lorsque Vladimir Poutine est devenu membre de la Fédération de Russie, il a voulu avoir l’avis de son institutrice (qui lui a enseigné la culture russe) sur sa gestion du pays, elle lui a dit qu’il marchait comme un bandit. Le président du pays, prend son avis très au sérieux au point de changer son approche.
Vladimir Poutine marchait avec un dos très droit, certains neurologues pensaient que le président avait la maladie de Parkinson, d’autres neurologues pensaient qu’il était autiste. Une étude sur ce dernier a montré qu’il avait une anomalie neuronale. Mais la cause de cette anomalie est sans fondement.
L’hypothèse des chercheurs est donc que Poutine marche selon les règles du KGB, en tenant un pistolet ou une arme imaginaire dans sa main droite immobile, ou parce qu’il pense que c’est cool d’adopter la démarche du type qui tient une arme. Bien sûr, cette recommandation du manuel d’entraînement du KGB ne prouve absolument rien. Il s’agit d’une spéculation de chercheurs.
Afin d’infirmer ou de confirmer leur thèse, ils ont examiné la façon de se déplacer d’autres militaires russes ex-officiers du KGB. De manière surprenante, là encore ils ont noté des déplacements bizarres, par exemple, d’anciens ministres de la Défense comme Anatoly Serdyukov et Sergei Ivanov, mais aussi d’un commandant militaire de haut rang, Anatoly Sidorov. Leur façon de marcher a la même caractéristique que celle de Poutine.