Une femme qui devait prendre la parole ce mardi 25 août, au deuxième jour de la convention républicaine, a été exclue du programme à la dernière minute après avoir relayé une théorie du complot antisémite, rapportent les médias américains.
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Mary Ann Mendoza devait s’exprimer au sujet de son fils Brandon, un policier tué en 2014 par un conducteur en état d’ébriété qui se trouvait illégalement aux États-Unis. Son intervention a finalement été annulée après qu’elle a relayé sur Twitter une théorie complotiste défendue par les adeptes de la mouvance d’extrême droite conspirationniste « QAnon ».
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« Rendez-vous service et lisez cette discussion », a tweeté Mary Ann Mendoza à ses 41.000 abonnés. Elle a ensuite retiré son message et présenté ses excuses : « J’ai partagé plus tôt une longue discussion sans lire chacun des messages qu’elle contenait. Je m’excuse de ne pas avoir prêté attention à la tonalité de l’ensemble du message ». « Cela ne reflète en aucun cas mon sentiment ou mes idées », a-t-elle insisté.

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Le président américain Donald Trump avait affirmé la semaine dernière ne pas savoir « grand-chose » sur les adeptes de la mouvance « QAnon ». « J’ai compris qu’ils m’aiment beaucoup, ce que j’apprécie », avait-il déclaré lors d’une conférence de presse.