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Procès Benjamin Mendy : face au juge, le footballeur se dit « choqué d’être accusé de viol et séquestration »

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Il y a encore quatre ans, personne ne pouvait s’imaginer que Benjamin Mendy, célèbre champion du monde de football 2018, aurait pu se retrouver au cœur de telles accusations. Depuis le début du mois d’août dernier, le sportif fait face à la justice britannique pour viols, tentative de viol et agression sexuelle. Cela fait donc plusieurs semaines que les témoignages des présumées victimes s’enchaînent face aux juges, et plus les jours passent et plus leurs confidences sont glaçantes.

De son côté, Benjamin Mendy continue de clamer son innocence, tout comme Louis Saha Matturie, son ami qui comparaît avec lui. Ce jeudi 27 août, le défenseur de Manchester City s’est même dit “choqué d’être accusé de viol et séquestration”, selon les informations de Manchester Evening News.

Lors de son audition, Benjamin Mendy a confirmé avoir eu une relation sexuelle avec les plaignantes, mais que ces dernières étaient toutes consenties. Il s’est ensuite exprimé sur la fameuse pièce dotée d’un verrouillage à code. Il a ainsi assuré que, contrairement aux dires des présumées victimes, la porte pouvait s’ouvrir par l’intérieur et qu’il leur était possible de “partir à tout moment”.

Concernant l’une des accusations de viol dont il est la cible, Benjamin Mendy a expliqué avoir invité plusieurs femmes à son domicile après avoir passé une soirée en boîte de nuit. Selon ses dires, l’une des invitées l’aurait pris en photo dans sa piscine. Il lui aurait ensuite demandé de l’effacer, ce qu’elle aurait fait en lui tendant son téléphone contenant une photo d’elle nue. “Elle a dit qu’elle avait plus de photos comme ça et nous avons convenu de monter dans ma chambre, pour qu’elle puisse m’en montrer plus”, a-t-il indiqué. Une fois dans la pièce, la jeune femme aurait accepté de lui faire une fellation, tout en précisant qu’elle ne souhaitait “rien faire d’autre”. Désormais, c’est à la justice de juger si la version du sportif est sincère, ou non.