Le temps serait-il venu pour mettre les pendules à l’heure ? Ce mardi 29 avril 2025, face à Arsenal, le PSG disputera la phase aller de la demi-finale de la Ligue des champions et Luis Enrique se sent de plus en plus confiant.
Perdant lors de la phase de ligue contre le club anglais, l’entraineur Luis Enrique a évoqué ses sentiments d’espoir et de détermination afin de prendre l’avant contre les Gunners.
Si le club de la capitale française a crapahuté pour là où il est à ce stade de la compétition, c’est bien par le mérite, comme l’a laissé entendre le tacticien espagnol.

Luis Enrique : “Parcours intense”
« Je pense que nous sommes meilleurs qu’au mois d’octobre lorsque nous avions perdu ici en phase de Ligue. Et je pense que nous l’avons montré sur le terrain », déclarait-il lors de la conférence de presse d’avant match.
Avant d’ajouter : « Notre parcours en phase de Ligue a été intense, avec des adversaires de haut niveau affrontés.
Ce parcours nous a aidé et aujourd’hui, nous sommes meilleurs, et nous nous sentons plus forts, nous sommes plus complets, plus confiants. Nous les retrouvons en demi-finale, et nous espérons écrire l’histoire. »
À l’Arsenal Stadium, le PSG tentera de se laver la face de sa défaite deux buts à zéro dans ce même stade il y a quelques mois.
Cependant, comme le reconnait Luis Enrique, malgré la nette amélioration du PSG tant dans la compétition européenne qu’en Ligue 1, la rencontre ne sera pas la plus aisée du monde.
Il analyse la tournure de la rencontre : « Arsenal est une des meilleures équipes d’Europe, avec un entraîneur qui fait du très bon travail depuis plusieurs années.
Ce sera difficile parce que c’est un grand adversaire que nous allons affronter, il y aura beaucoup d’intensité sur le terrain. On sait que jouer ici, dans ce stade, contre cette équipe, est toujours difficile. Ce sera un grand match, c’est une certitude ».
Pour rappel, c’est ce même Arsenal de Mikel Arteta qui a éjecté honteusement le champion en titre, Real Madrid lors des quarts de finale. Luis Enrique pourra-t-il réussir là où Ancelotti a échoué ?