Après le but de Gonçalo Ramos, permettant au PSG de battre le Barça (2-1) en Ligue des champions, une controverse a vu le jour.
Dès la 38e minute, Senny Mayulu avait égalisé pour le PSG après l’ouverture du score de Ferran Torres pour le Barça.
Puis, dans les arrêts de jeu, Achraf Hakimi a lancé une contre-attaque décisive et a servi Ramos, qui a marqué le but de la victoire du PSG face au Barça.

Cependant, la VAR a suscité une polémique. En validant le but, les arbitres ont utilisé un arrêt sur image où le ballon avait déjà quitté le pied d’Hakimi, donnant l’impression que Ramos n’était pas hors-jeu.
Or, au moment exact du départ du ballon, Ramos était bien en position de hors-jeu. Cette erreur technique a provoqué de vives réactions sur les réseaux sociaux, avec de nombreux supporters et observateurs pointant les limites actuelles du système VAR.
Malgré cette controverse, le but reste officiellement validé. Selon le règlement de l’UEFA, une erreur confirmée après la fin du match ne permet pas d’annuler un but.
Les arbitres et la VAR prennent leur décision en temps réel, et aucune correction postérieure n’est possible. Cette situation illustre cependant les défis persistants de l’arbitrage vidéo et la nécessité de protocoles plus précis pour les situations de hors-jeu serré.
En dépit de la controverse, le PSG consolide sa position en tête de son groupe grâce à cette victoire. Néanmoins, le débat autour de la VAR et de son usage continue d’alimenter discussions et critiques.
Les observateurs réclament davantage de précision et de rigueur dans l’application des règles, afin que des erreurs similaires ne viennent plus influencer des matchs décisifs en Ligue des champions.
Cette rencontre restera dans les mémoires, non seulement pour son suspense, mais aussi pour les questions qu’elle soulève sur la fiabilité de la VAR et l’impact des erreurs d’arbitrage sur les résultats.
Les supporters et experts scruteront désormais chaque action de près, conscients que même les technologies les plus avancées ne sont pas infaillibles.