À la fin d’une émission de El Partidazo de COPE, Lucas Vázquez participe à un jeu de choix rapides.
Le principe reste simple : le journaliste enchaîne les duels de joueurs, et le Madrilène doit répondre immédiatement, sans longue justification.
L’atmosphère paraît détendue, mais chaque réponse suscite la curiosité, surtout lorsque deux noms prestigieux apparaissent : Vinícius Jr. et Kylian Mbappé.
À ce moment, Lucas Vázquez ne réfléchit pas longtemps. Sans détour, il choisit Vinícius. Il ajoute même une petite phrase, glissée avec le sourire : « Por lo que he visto, él », autrement dit « d’après ce que j’ai vu, lui ».
Ensuite, ce choix fait immédiatement réagir les fans. D’un côté, certains y voient une fidélité logique envers Vinícius, déjà présent depuis plusieurs saisons au Real Madrid.
De l’autre, d’autres considèrent que même après l’arrivée de Mbappé, l’attachement au vestiaire ancien reste fort. En réalité, Lucas Vázquez ne cherche pas à lancer une polémique.
Il se contente de jouer le jeu, comme le format l’impose. Cependant, son choix donne un aperçu intéressant de la dynamique interne du club.
Par ailleurs, Vinícius Jr. partage le quotidien de Vázquez depuis des années. Ils ont vécu des finales, des remontées et des moments de tension au sein du Bernabéu.
À l’inverse, Mbappé, bien que déjà décisif depuis son arrivée, représente encore une nouvelle pièce à intégrer dans un collectif rôdé.
Ainsi, le choix du joueur espagnol peut se comprendre dans une logique de connexion humaine et sportive plutôt que dans une comparaison purement individuelle.
De plus, ce type de séquence montre aussi la culture de vestiaire du Real Madrid. Les joueurs protègent ceux qui ont grandi avec eux dans les moments difficiles.
Vinícius, souvent ciblé par les critiques et les provocations extérieures, bénéficie aujourd’hui d’un soutien interne très fort. En choisissant son nom, Lucas Vázquez envoie un message clair : l’unité existe autour des cadres déjà en place.
Il affirme simplement une préférence liée à l’expérience commune, avec la spontanéité que demandait le jeu.
