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Relations : Voici pourquoi avoir le cœur brisé vous coupe l’appétit, c’est prouvé scientifiquement

Crédit Photo : 123RF

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Vous l’avez sans doute remarqué : après une rupture, on a tendance à perdre l’appétit. Avoir le cœur brisé affecterait-il notre envie de manger ? La réponse est oui, et c’est la science qui le dit.

Evidemment, les conséquences d’une séparation diffèrent d’une personne à l’autre. Certaines personnes auront tendance à se réfugier dans la nourriture pour trouver un peu de réconfort, mais bien souvent, c’est le contraire. Quand on a le cœur brisé, la simple idée de manger quoi que ce soit peut nous donner la nausée. C’est bien simple, notre appétit semble coupé.

Le cœur brisé, un vrai coupe-faim ?

Les conséquences d’une rupture amoureuse sur notre organisme sont nombreuses. Un chagrin d’amour n’est pas imaginaire : cela entraîne une libération d’hormones liées au stress, ce qui peut se traduire notamment par une sensation d’étouffement, des nausées mais aussi par une perte d’appétit !

D’ailleurs, cela a été scientifiquement prouvé par des chercheurs, aux Pays-Bas. Selon le docteur en neurobiologie Gert ter Horst, notre organisme passe en mode “survie” pour se remettre de cette tristesse. Il explique notamment que les zones du cerveau qui gèrent la douleur gèrent également ce que l’on a envie de manger. Pour lutter contre la peine causée par un chagrin d’amour, la faim n’est pas une priorité, et c’est pour cela que notre appétit est impacté. Notre organisme a d’autres choses à gérer pour nous aider à aller mieux.

Toutes les femmes ou presque se sont un jour reconnues dans Bridget Jones, enroulée dans une couverture, un pot de glace à la main, après une rupture. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que, quand notre appétit revient, notre cerveau nous pousse à consommer des aliments gras, sucrés ou salés.

En effet, le manque d’appétit généré par un chagrin d’amour crée un déficit en terme de calories, que notre organisme souhaite compenser grâce à des aliments riches. Sans oublier que ces derniers aident également à réguler le taux d’oxytocine, l’hormone de l’amour, dont la production chute en cas de rupture.

Alors, la prochaine fois que l’on vous reprochera de vous consoler avec des sucreries après un chagrin d’amour, vous n’aurez plus qu’à répondre : “Ce n’est pas ma faute, c’est scientifique”.

Avec Cosmopolitan