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Révélations chocs : frappées par la pauvreté, les travailleuses de s3xe de ce pays africain s’injectent du sang pour se…

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Les travailleuses du sexe qui sont trop pauvres pour acheter leurs propres drogues ont maintenant recours à une nouvelle tendance connue sous le nom de flashblood ou bluetoothing pour se défoncer.

Flashblood ou bluetoothing est une seringue pleine de sang transmis par quelqu’un qui vient de s’injecter de l’héroïne à quelqu’un d’autre qui l’injecte à la place de l’héroïne.

Un rapport indique que les travailleuses du sexe de Murambinda, au Zimbabwe, s’injectent délibérément le sang d’un autre toxicomane dans un effort désespéré pour partager l’intoxication. 

Les travailleuses du sexe s’injectent le sang intoxiqué afin qu’elles puissent se défoncer et être suffisamment confiantes pour approcher les clients potentiels ainsi que pour répondre à leurs demandes sexuelles en constante évolution qui, ces derniers temps, ont inclus le sexe anal et les fellations.

Tafadzwa Dinga, un microplanificateur du programme de microplanning financé par le Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP) mis en œuvre par le Conseil national du sida (CNA), a confirmé que les travailleuses du sexe s’injectaient du sang en état d’ébriété pour se défoncer.

“Les jeunes travailleuses du sexe prennent de la drogue. Lorsque nous leur demandons, elles ne divulguent généralement pas qu’elles consomment de la drogue, mais les preuves sont là. Certaines des drogues courantes prises par ces jeunes comprennent Gukka MakafelaBronclear (Ngomwa) et marijuana.

Nous entendons aussi dire que les jeunes travailleuses du sexe s’injectent maintenant le sang des autres pour se défoncer. Elles prennent le sang d’un pair en état d’ébriété et s’injectent délibérément, nous avons entendu parler de tels cas récemment et nous enquêtons toujours”, explique Tafadzwa Dinga.

Avec Iharare