Le dimanche 7 mars, durant l’émission spéciale avec Oprah Winfrey, le prince Harry et Meghan ont parlé de la rupture tumultueuse avec la vie royale.
Meghan a également expliqué comment la vie sous les feux de la rampe de la monarchie, scrutée par la presse à scandale alors que ses choix étaient simultanément limités, avait eu un impact sur sa propre santé mentale.
« J’avais honte de le dire à l’époque et honte de devoir l’avouer à Harry. Mais je savais que si je ne le disais pas, alors je le ferais », a déclaré Meghan à Winfrey. « Je ne voulais tout simplement plus être en vie ».
Elle a poursuivi en disant que “ce qui est si important pour les gens de se souvenir, c’est que vous n’avez aucune idée de ce qui se passe pour quelqu’un derrière des portes fermées. Aucune idée. Même les gens qui sourient et qui font briller les lumières les plus brillantes. Vous devez avoir de la compassion pour ce qui se passe réellement et potentiellement”.
Nombreux sont ces personnes qui ont suivi l’interview et en ont été choquées. Certains amis de Meghan ont décidé de la soutenir, comme par exemple Serena Williams.
« Meghan Markle, mon amie désintéressée, vit sa vie et donne l’exemple, avec empathie et compassion », a écrit Serena Williams sur Instagram. « Elle m’apprend chaque jour ce que signifie être vraiment noble », a ajouté Mme Willliams. « Ses mots illustrent la douleur et la cruauté qu’elle a vécues ».
Même la Maison Blanche s’est exprimée. Le lundi 8 mars, le président Joe Biden selon la porte-parole Jen Psaki, avait trouvé qu’il avait fallu du « courage » au prince Harry et à Meghan, pour parler de leurs expériences en tant que membres de la famille royale britannique et de leur décision de démissionner de leurs fonctions royales. Jen Psaki avait rapporté que les Biden avaient trouvé que « pour quiconque, se présenter et parler » face public, « de ses problèmes intimes et raconter son histoire », demandait une bonne dose de courage ; et visiblement le jeune couple semblait ne pas en manquer.
