Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

Samuel Eto’o : ”J’ai été chauffeur de Taxi en Espagne…”

Facebook
Twitter
WhatsApp

Il se cache toujours des histoires derrière les noms des légendes du ballon rond. Des histoires aussi bouleversantes les uns après les autres.

Les parcours de ces géants servent des témoignages édifiants, qui permettent de savoir d’où ils viennent.

Lire aussi Togo : du riz japonais moins cher en vente par l’Ansat

Pour la star monumentale camerounaise Samuel Eto’o, le périple a débuté en 1996 quand pour la suite de sa carrière professionnelle, il a atterri en Espagne.

Pour s’acclimater à ce nouveau monde, cette nouvelle culture et se faire de l’argent, Samuel a dû exercer le métier de chauffeur de taxi. Une expérience dont il a fait le retour au cours d’un échange public et relayé par Abidjan Show.

Quand je suis arrivé en Espagne, je me suis dit : « mon Dieu, où est-ce que j’ai atterri (rires). Le dépaysement était total. La chose la plus compliquée était la langue. Or, je devais rapidement apprendre l’espagnol pour les consignes lors des entraînements et échanger le mieux possible avec mes coéquipiers », a commencé Eto’o.

Lire aussi Elim CHAN 2020 : les Éperviers du Togo tombent sur un adversaire de taille

« Dans la vie, il faut savoir s’adapter et surmonter les obstacles. Pour me fondre dans la société espagnole, j’ai eu l’idée de devenir chauffeur de Taxi durant mes temps libres. J’avais mon permis depuis peu et je conduisais les clients dans différents endroits de Madrid. De là, j’ai appris à converser avec la clientèle », a-t-il poursuivi.

« C’est ainsi que j’ai obtenu les bases de l’espagnol. J’ai aussi noué de solides relations sociales avec certains de mes passagers. Je suis toujours en contact avec ces derniers. J’ai été chauffeur de Taxi durant une très courte durée, mais cela m’a permis d’apprendre beaucoup sur le plan social et d’en apprendre plus sur moi-même », a indiqué le Camerounais.

Lire aussi  Togo : voici la date de l’Aïd al-Adha (Tabaski) selon des astronomes tunisiens

Ce sont ces moments qui ont forgé l’homme de 38 ans, qui croule aujourd’hui au milieu d’une richesse insolente.