Marlène Schiappa a souligné Sur Cnews qu’une société sans police s’apparenterait à un monde régi par la « loi de la jungle ».
Tout en reconnaissant l’existence des dérives dans l’emploi de la force, la ministre déléguée à la Citoyenneté a précisé qu’elles n’étaient pas la norme. Elle a salué la mission de protection des policiers et gendarmes, au service des « plus fragiles ».
« Évidemment, quand il y a un usage disproportionné de la force, il doit être sanctionné, il n’y a pas de débat là-dessus. Mais c’est loin d’être le cas général. […] Très souvent, quand on est une personne fragile, en danger, on appelle la police, on appelle la gendarmerie. Cette police qui protège, notamment les femmes et les plus fragiles, je crois qu’il faut lui rendre hommage », a-t-elle déclaré devant les caméras de CNews.
« S’il n’y avait pas de police ou pas de gendarmerie, ça veut dire la loi de la jungle, c’est la loi du plus fort », a-t-elle précisé.