Certaines pratiques sexuelles se révèlent être potentiellement dangereuses. Risque d’infection sexuellement transmissible, d’infection urinaire, ou de séquelles émotionnelles, voici les 5 pratiques sexuelles les plus risquées.
Le “chemsex”
Les adeptes du BDSM savent que certains pratiquent la strangulation consentie pendant leurs ébats sexuels. Les témoignages révèlent que le fait de manquer d’oxygène peut intensifier l’orgasme. Cependant, la strangulation peut être mortelle : se priver d’air risque de causer l’évanouissement puis une mort par asphyxie.
D’où l’importance de redoubler de vigilance et d’éviter ce type de pratique, ou de fixer un code d’urgence entre les partenaires pour respecter les limites de chacun et assurer sa sécurité. Par ailleurs, il est fortement déconseillé de pratiquer la strangulation même très légère sous l’emprise de drogue ou d’alcool.
Le “stealthing”
Cette pratique relève de l’agression sexuelle. Le stealthing, “furtivité” en français, consiste à retirer son préservatif pendant un rapport sexuel sans demander l’avis de son ou sa partenaire.
Une tendance qui se développe aussi bien dans les communautés hétérosexuelles qu’homosexuelles. Les risques ? Une grossesse non désirée, la contamination d’une infection sexuellement transmissible (IST), mais aussi des séquelles d’un point de vue émotionnel.
Souffler lors d’un cunnilingus
Souffler dans le vagin de sa partenaire lors d’un cunnilingus se révèle être potentiellement dangereux pour la santé, en particulier chez la femme enceinte. Ses vaisseaux sanguins sont dilatés : ainsi, des bulles d’air peuvent obstruer la circulation sanguine, révèle Madmoizelle, ce qui peut entraîner une embolie gazeuse pouvant être mortelle.
Avec Femme Actuelle