La star de télé-réalité Sarah Fraisou a encore froissé les internautes après avoir partagé sur Snapchat, un fait qu’elle trouve inacceptable.
En effet, l’influenceuse a partagé une publication dans laquelle elle se plaignait du travail de ses ouvriers. Apparemment, plusieurs d’entre eux profiteraient de son absence pour se reposer.
“Pendant que je paye une journée de travail, les ouvriers s’enferment dans une pièce climatisée et ils dorment ! Et c’est normal ? Aujourd’hui, ils sont cinq.
J’ai l’impression d’être toujours derrière eux, comme des enfants ! En plus, il y a la barrière de la langue puisque la plupart viennent du Bangladesh ou du Pakistan”, se plaint-elle.
“Sarah Fraisou qui contribue à l’esclavage moderne, c’est-à-dire : faire bosser des étrangers sous 35 degrés pour des salaires médiocres. Elle se permet de râler, car ses « employés » épuisés, j’imagine, se sont cachés pour dormir sous la clim de sa villa à Dubaï, elle a 0 humanité ou quoi ?“, a réagi un internaute en commentant sa publication.
La starlette a immédiatement rétorqué sur Snapchat : “Son tweet m’a complètement choqué ! Une dinguerie ! Cette personne-là tweete énormément de choses pas gentilles sur moi. Et ce tweet me dérange. Des travailleurs étrangers ? Moi, je ne fais pas la différence… Je m’en tape ! Ça ne me regarde pas qui emploie la société que je paie.
Ensuite, quand ils ont leur heure de pause, ils sont à la maison et je leur fais à manger. Et ici, il fait toujours 35° ! Alors quand tu parles d’esclavagisme, retournes en cours d’Histoire. Les esclaves étaient forcés, battus et n’avaient pas de salaire ! Arrêtez de vouloir tout le temps sortir des sauces. Se plaindre parce que les travailleurs profitent de votre gentillesse, c’est normal !“
Au lendemain de ce mini-scandale, Sarah Fraisou est apparue en larmes sur ses réseaux et a fait un aveu inattendu :
“J’ai l’habitude de vous envoyer que des ondes positives… Mais quand ça ne va, ça ne va pas ! Le soir, je pleure. Je suis un humain ! J’ai beaucoup, beaucoup de choses dans ma vie, dont je ne parle pas, qui me font paniquer et qui me font peur. Si vous avez besoin de craquer et relâcher la pression, faites-le ! J’ai besoin de pleurer, c’est tout. Je suis vraiment fatiguée…“