Satisfaite sexuellement par son violeur, elle refuse de le dénoncer à la police

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La surprise n’est pas le terme approprié pour décrire l’émotion au Botswana. Appelée pour témoigner contre un Zimbabwéen qui l’a violé, elle refuse ; et plus curieux elle demande le contact de celui-ci affirmant que lors du viol elle avait été comblée.

Oscar Chabaya, 34 ans  a été identifié comme l’agresseur d’une botswanaise. Il a été admis que la femme  est non identifiée. Selon certaines informations, les attaques de viol du suspect ont commencé en mars 2017, où il entrerait dans les maisons de ses victimes par des fenêtres laissées ouvertes. Une fois à l’intérieur, fouillerait la maison à la recherche de téléphones portables avant de violer ses victimes. Ses cibles privilégiées étaient des étudiantes de moins de 24 ans à qui avant le viol disais qu’il était bon au lit et elles l’appelleraient pour en redemander.

Chabaya a été arrêté en avril 2017, après que la police ait fait correspondre son ADN à une affaire de vol dans laquelle il avait eu une coupure à la main en s’échappant. Malgré le refus de la victime de témoigner contre lui, la poursuite a prouvé hors de tout doute raisonnable que les rapports sexuels avaient eu lieu sans son consentement.

En rendant le verdict, le magistrat Willie a déclaré que les cas de viol étaient en augmentation au Botswana et que des auteurs comme Chabaya O.  méritaient des peines plus sévères.

Avec Afrikmag

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