C’est un tabou et pourtant, il faut bien en parler. Nombreux sont ceux-là qui ont honte d’aller à la pharmacie ou dans une boutique pour demander d’après un préservatif.
Présence de trous, risques de déchirure ou de glissement(en latex ou en polyuréthane), autant d’anomalies qui pourraient compromettre la qualité d’un préservatif. La résistance de celui-ci lors d’un rapport sexuel est importante pour se protéger des IST et des grossesses non désirée.
60 Millions de consommateurs ont testé leur fiabilité. Voici ceux à privilégier et ceux à éviter pour une protection optimale.
Dans le large choix de préservatifs disponibles en grande surface ou en pharmacie, certains modèles se démarquent, et ont obtenu de bonnes notes lors des essais réalisés. Comme le “classique naturel”, de Protex Condoms et le “Blauband” de Ceylor, qui ont tous les deux obtenu une note de plus de 16/20.
En revanche, les préservatifs “Invisible” de Soft, “Classiques” de Pharmactiv et “Sortez couverts”, rejoignent la version “Contact” de Manix sur le banc des mauvais élèves…
Enfin, les trois modèles synthétique (sans latex) testés s’en sortent plutôt bien, avec des notes au-dessus de la moyenne (“Natural sensation” de Durex, “Original” de Skyn Manix, et “Original 0,02” de Protex condoms).
Avec Femmeactuelles