La relation entre le père Enrique, entraîneur du Paris Saint-Germain, et sa fille Sira Cullell, ne vont pas de bon train, notamment dans leur vision sportive.
Son père, fan du football, ne partage pas entièrement la carrière de sa fille qui, elle, évolue dans la cavalerie.
Dans une interview accordée au média espagnol Marca, Sira Cullell a révélé quelques rapports qu’elle entretient avec son géniteur.
Questionnée sur la position de son père sur son sport, elle déclare : « Je crois qu’il pensait au début que c’était un peu une bêtise (faire de la cavalerie, NDLR) de ma part et que petit à petit, j’allais abandonner.
J’ai aussi beaucoup joué au tennis et il pensait que j’allais me lancer dans ce sport. Mais au final, c’était un processus très fluide et du coup, je me suis retrouvé avec un cheval qui concourait de plus en plus. Et jusqu’à présent, tout se passe bien ».
Avant d’ajouter : « Quand je vais lui demander conseil, c’est plus pour moi qu’en tant qu’athlète, car il n’a pas beaucoup de choses à me dire sur les chevaux, mais c’est vrai que l’année dernière, quand j’ai eu une mauvaise passe, il a su beaucoup m’aider en me parlant.
C’est un sportif de haut niveau, il comprend beaucoup mieux les choses, il sait qu’il y a des bons et des mauvais moments… C’est pour ça qu’il m’aide. »
Même si Luis Enrique ne partage pas son sport, elle a néanmoins reconnu qu’il était un de ses idoles.
« Je sais aussi que c’est très dur et qu’il faut travailler dur pour réaliser ce que l’on a accompli. En fin de compte, c’est quelqu’un que j’admire aussi en tant que sportif, pas seulement en tant que père », précise-t-elle.