Alors que l’intelligence artificielle revendique des parts croissantes de nos vies sociales et de consommation, elle est censée éliminer tous les défauts rampants que les humains introduits dans le monde.
La réalité, bien sûr, est tout autre. Des algorithmes de Facebook qui ont manifesté à attiser la colère aux applications de reconnaissance faciale qui ne reconnaissent pas les personnes de couleur , l’IA offre souvent moins d’amélioration par rapport au statu quo qu’un renforcement insidieux de celui-ci.
Maintenant, un parvenu de la Silicon Valley dit qu’il est une nouvelle approche du problème. Alan Cowen, un ancien data scientist de Google avec une formation en psychologie, a créé une société de recherche, Hume AI, et un compagnon à but non lucratif qui, selon lui, peut aider à rendre toute l’affaire désordonnée de l’IA plus empathique et humaine.
En se formant sur des centaines de milliers d’expressions faciales et vocales du monde entier, l’intelligence artificielle sur la plateforme Hume peut réagir à la façon dont les utilisateurs se sentent vraiment et répondre plus spécifiquement à leurs besoins émotionnels, a déclaré Cowen.
Il a déclaré qu’il espérait que la plateforme serait éventuellement intégrée à des applications grand public telles que les vidéos virales et les assistants numériques, même si l’efficacité est encore incertaine et que la volonté des grandes entreprises technologiques de la mettre en œuvre est rapidement peu probable.
