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Thierry Henry zappe Zidane, Maradona, Pelé, CR7 et Messi : voici son top 4 des meilleurs attaquants de l’histoire

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Thierry Henry a révolutionné le poste de numéro 9 en Angleterre. Faisant partie des invincibles, Titi a prouvé en Premier League qu’il était un des plus grands.

Mais le champion du monde français ne s’est pas levé pour devenir l’un des meilleurs joueurs de l’histoire de ce championnat. Il a suivi quatre grands attaquants, ses modèles.

Dans une interview accordée à Jamie Carragher, Thierry Henry a désigné les quatre attaquants qui l’ont inspiré. Il s’agit des Brésiliens Romario et Ronaldo, du Libérien George Weah et du Néerlandais, Marco Van Basten.

«Pour moi, il y a eu 4 joueurs ! Romario. Dès qu’il était dans la surface, il essayait de faire la différence par lui-même.

George Weah. Il pouvait prendre la balle n’importe où et si tu n’étais pas prêt, tu allais avoir de gros problèmes. La première fois que je l’ai vu, il jouait à Monaco. Je le regardais et je me disais qu’il ne faisait pas les mouvements d’un n°9. Un n°9 tel qu’on les connaissait à l’époque : celui qui reste dans la surface, qui passe la balle à l’ailier… Georges avait l’habitude de décrocher, de dribbler, d’aller à gauche, à droite, de feinter, de faire des passements de jambe… Ce n’était pas un n°9 traditionnel», a-t-il déclaré.

Thierry Henry ne s’est pas arrêté sur Romario et George Weah, le champion du monde 1998 a aussi adoré, Ronaldo Ô Fenomeno et notamment Marco Van Basten, qu’il désigne comme son vrai idole de jeunesse.

«Puis il y a eu Ronaldo, le Brésilien, ainsi que Van Batsen. Quand je voyais leurs buts, je me disais : ‘Je veux marquer des buts comme ceux-là. Ça me parle.’ Le seul talent que j’avais à mes débuts, c’était la vitesse.

Quand ils dribblaient, eux ne ralentissaient pas. Il n’y avait aucune seconde de ralentissement dans leurs mouvements. Ils partaient et passaient tout le monde.

Pour moi, ces quatre joueurs ont changé les choses. Mais de tous, mon idole était Marco Van Basten parce que c’était l’attaquant complet», a-t-il conclu.