Le ministre togolais des Droits de l’Homme, de la Formation civique et des Relations avec les Institutions de la République, a représenté la Cheffe du gouvernement à un événement particulier ce vendredi 21 ai 2021.
Il s’agissait d’un atelier sur l’élaboration de la stratégie nationale de lutte contre la corruption et les infractions assimilées. A cette occasion, le ministre, porte-parole du gouvernement a fait des observations particulières au sujet de la Haute Autorité de Prévention et de Lutte contre la Corruption et les Infractions Assimilées (Haplucia).
Selon les révélations du ministre, cette institution pensée en 2015 n’est pas sur un modèle répressif. Mais la Hapulcia n’est pas non plus un faire valoir pour répondre aux exigences des partenaires internationaux comme le supposent certaines personnes.
En exemple, le gouvernement dans le cadre du plan quinquennal de développement 2018-2022, recherche naturellement de l’argent pour financer ses actions et projets. Il faut naturellement veiller à ce que les petites économies qu’on arrive à réunir, ne soient détournées par d’autres personnes. “Quand on recherche de l’argent, on ne peut pas laisser fuir l’argent”, a déclaré la ministre Trimua.
Il a mentionné que la Haplucia est nantie d’autorité et d’autonomie pour agir sur les consciences tout en renforçant les textes de sorte à y intégrer des mécanismes de prévention contre la corruption. L’institution a également pour vocation d’écouter les dénonciations sur la corruption, de les évaluer et faire une sorte de filtrage avant de les transmettre aux autres institutions adaptées en termes pénalisation et de répression.