Le Togo doit encore faire des efforts en matière de lutte contre les maladies se3uellement transmissibles notamment le Vih/Sida.
Selon une récente thèse de doctorat dont l’Université de Kara a servi de cadre, plusieurs étudiantes de cette université située au nord du pays reconnaissent avoir jusqu’à huit (8) partenaires se3uels, rapporte Afreepress ce jour. Un chiffre qui éclaire sur les risques que courent les étudiantes en ce qui concerne les IST, le cancer du col, etc.
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Lors du 4e forum national des acteurs et partenaires engagés dans la lutte contre le Vih/Sida et la tuberculose au Togo organisé en début du mois de juillet à Lomé, le sujet a été au cœur des échanges.
Le taux de prévalence du Vih/Sida est stable au Togo depuis 2010 et une baisse significative des nouvelles infections et taux de décès liés au Sida, souligne Prof Vincent Pitché, Coordonnateur du Conseil national de lutte contre le Sida ; mais de nombreux défis restent à relever pour éradiquer la maladie d’ici 2030.
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Et pour ce faire, le Togo doit davantage se pencher sur les comportements à risque de sa jeunesse et inverser la tendance révélée par cette thèse de doctorat.
*Image d’illustration
