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Togo : la chenille légionnaire au cœur d’un atelier à Lomé

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D’origine américaine, la chenille légionnaire constitue une vraie menace pour l’Afrique subsaharienne.

Chenille légionnaire, Lomé, Afrique subsaharienne, Allemagne
Une chenille légionnaire

Pour cela, elle a fait l’objet de plusieurs rencontres de recherches. Il en ressort de ces recherches que beaucoup reste encore à faire pour l’éradiquer.

Elle est encore une fois au centre d’un atelier de trois jours démarré, ce mardi 22 janvier, à Lomé.

Financée par l’Allemagne, cette rencontre a pour objectif de réfléchir sur les moyens de lutter contre cette chenille très présente dans cette région de l’Afrique.

Etudiants et chercheurs vont notamment passer en revue, lors de cette rencontre, les résultats déjà obtenus et débattre des autres méthodes de lutte pour pouvoir éradiquer cette chenille dans la sous-région.

L’atelier prend fin le 24 janvier prochain.

Notons que la chenille légionnaire est un insecte qui est originaire des régions tropicales et subtropicales des Amériques. Si sa présence n’est pas bien gérée, l’insecte peut causer des dommages importants aux cultures. Elle s’attaque de préférence au maïs, mais peut se nourrir de plus de 80 espèces de cultures, notamment le riz, le sorgho, le millet, la canne à sucre, les cultures maraîchères et le coton.

Elle a été détectée pour la première fois en Afrique Centrale et en Afrique de l’Ouest début 2016 et s’est propagée rapidement dans pratiquement toute l’Afrique subsaharienne