La chicha est devenue aujourd’hui l’un des premiers plaisirs de la jeunesse. Appréciée pour ses fragrances différentes, les jeunes n’ont de cesse de s’agglutiner autour.
C’est ainsi qu’en France, les bars à chicha sont devenus populaires.
Le Togo n’est par ailleurs pas exempt de cette “épidémie” de chicha. Les mêmes bars ont commencé à gangrener les villes du pays.
Et si certains consommateurs se prêtent à penser que ce plaisir est moins dangereux que le tabac, il en est tout autre.
La ministre du Développement à la base au Togo, Myriam Dossou-d’Almeida a en ce sens tiré la sonnette d’alarme ce 27 janvier.
“Lors d’une session de chicha, tu inhales 25 fois plus de goudron et 125 fois plus de fumée qu’avec une cigarette”, peut-on lire dans son post.
Elle soutient enfin que la chicha constitue réellement une véritable source de préoccupation pour le gouvernement.
“J’invite toutes les associations de lutte contre la consommation, des drogues et hallucinogènes, les parents, à se mobiliser dans un mouvement de solidarité intergénérationnelle pour sauver notre jeunesse”, termine-t-elle.
⚠️🚭Le phénomène de la consommation de la chicha qui se répand et se banalise en raison de sa représentation comme étant moins toxique que le tabac, constitue une véritable source de préoccupations pour nous.
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— Myriam Dossou-d'Almeida 🇹🇬 (@DossouMyriam) January 27, 2023
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