Le bilan des accidents de circulation au premier semestre 2019 fait état de 354 morts. Des morts, de trop, dus entre autres à la conduite en état d’ébriété.
En conférence de presse ce vendredi, le ministre Yark Damehame a annoncé l’introduction, dès le mois d’octobre, des alcootests pour mesurer le taux d’alcool dans l’air expiré des chauffeurs suspects.
Des amendes pourraient être infligées aux conducteurs contrôlés positifs au cours de ces tests.
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Dans un but préventif, tout conducteur peut être contrôlé à l’alcootest et ce à tout moment.
Mais avant la mise en place de ce dispositif, une vaste campagne de communication devrait être faite.
Notons que, même si l’alcootest constitue un instrument préventif qui permet de déceler la présence de l’alcool dans le sang par le biais de l’air expiré, l’infraction doit être confirmée par l’éthylomètre ou par une prise de sang.
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Ainsi un conducteur ne peut être soumis à l’éthylomètre que lorsque les épreuves de dépistage (alcootests ou éthylotests) permettent de présumer l’existence d’un état alcoolique.