L’amour peut se rencontrer partout, dit-on souvent. Et force est de constater que de nos jours, les réseaux sociaux représentent une référence idéale en la matière. En effet, Facebook, WhatsApp… sont devenus des cadres phares pour aborder, draguer, tomber amoureux et même maintenir la flamme dans un couple.
Nadia n’est pas très active sur les réseaux sociaux et ne le cache pas. Toutefois, elle les utilise pour contacter son soupirant. « Moi, je n’arrive pas à utiliser trop WhatsApp. Mais j’écris quand même avec mon amoureux pour lui souhaiter une bonne journée et de temps en temps lui envoyer certaines de mes photos », confie notre interlocutrice.
Contrairement à Nadia, Alain est un utilisateur hyper connecté. Pour lui, les réseaux sociaux, c’est le cadre privilégié pour échanger avec sa partenaire. « Je discute beaucoup avec ma copine sur Internet. On s’envoie des poèmes d’amour, des images, des vidéos. et ça peut se faire à tout moment, par exemple dans la nuit profonde; parfois même, on fait l’amour à travers Whatsapp », a-t-il laissé entendre, le sourire aux lèvres.
Larissa, pour sa part, aime bien Facebook. Le monsieur avec lequel elle vit une histoire d’amour en ce moment, elle l’a rencontré sur ledit réseau. « C’est lui qui a vu ma photo et ensuite mon profil. Et il m’a envoyé une invitation. Avec le temps, suite à nos discussions, nous avons appris à nous connaître et les choses sont allées vite. Dieu merci pour ce que nous vivons ensemble maintenant », a-t-elle témoigné.
Par ailleurs, les réseaux sociaux peuvent également causer des frictions négatives dans un couple, pire, des mésententes dans le foyer. C’est le cas de Bernard, qui aussi a rencontré l’être aimé via ce moyen.
« Je ne suis pas très rassuré quand je vois ma partenaire faire WhatsApp. Lorsqu’elle sourit ou qu’elle rit carrément en ma présence, j’ai l’impression que c’est avec d’autres hommes en ligne qui lui font la cour. Parfois, on se querelle pour ça, mais après on se reconcilie toujours », explique-t-il.
Ainsi, les réseaux sociaux font de plus en plus partie intégrante de notre quotidien. Que l’on y soit accroché à plein temps ou de manière passagère, on ne peut plus s’en passer, et ce, pour des raisons différentes d’une personne à une autre.