À l’approche de l’élection présidentielle du 22 février prochain, Yark Damehame a lancé un avertissement à l’endroit des individus qui aimeraient perturber le déroulement normal du scrutin.
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Pour le ministre de la sécurité, « si quelqu’un veut voter, c’est son droit. Mais il ne doit pas empêcher d’autres à le faire ».
Il a d’ailleurs rappelé qu’« il n’est pas sage de dire : je ne participe pas, je vais empêcher. Cela ne sert à rien ! S’il y a encore des gens qui ont cette velléité, je leur demande de rester sages parce que la loi de la république n’a pas de détails. Vous allez à l’encontre, elle vous frappe de la manière qu’il faut et surtout en période électorale. Ce n’est pas bon de se retrouver derrière les murs pour une bêtise qu’on pourrait éviter » ; a-t-il lancé.
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Les agents de la FOSEP n’utiliseront que des armes conventionnelles en plus des matériels destinés au maintien de l’ordre, a rassuré Kodjo Amana, chef de la FOSEP 2020.
