En pleine concentration avec le Qatar, Cristiano Ronaldo ne manque pas d’idées pour attirer l’attention sur lui. Et la dernière polémique qui avait enflé sur le Portugais concernait son changement lors de la rencontre entre le Portugal et la Corée du Sud, un match perdu au cours duquel le portugais a lancé quelques mots qui ont été interprétés dans le mauvais sens ou dirigés vers la mauvaise personne selon lui. Et pour clarifier la situation, le joueur a déjà assuré que sa colère n’était pas dirigée contre son entraîneur.
« Ce qui s’est passé, c’est qu’avant le changement, un de leurs joueurs me disait de sortir rapidement. Et je lui ai dit de se taire, parce qu’il n’a pas d’autorité, il n’a pas à dire quoi que ce soit » a expliqué Cristiano Ronaldo. De son côté, Fernando Santos, le sélectionneur du Portugal, a réglé la polémique sur le remplacement de sa star : « Je n’ai rien entendu sur le terrain, mais j’ai vu les images et je n’ai pas du tout aimé. Dès lors, ces questions sont résolues dans le vestiaire. C’est la fin de l’affaire. »
Par ailleurs, en ce qui concerne le nouveau club du joueur, Fernando Santos a précisé qu’il n’a pas parlé à Cristiano Ronaldo de son éventuel transfert au club saoudien d’Al-Nassr, que Marca a déjà annoncé comme une affaire réglée pour les deux prochaines saisons et demie, à partir du 1er janvier : « Je ne le savais même pas. C’est sa décision, mais maintenant il est concentré sur la Coupe du monde et sur l’aide à l’équipe. C’est ce dont nous avons parlé. Nous avons un match très compliqué, entre deux équipes fortes », a déclaré Santos, qui a fait appel à la “concentration” de son équipe pour pouvoir battre la Suisse après sa défaite contre la Corée du Sud lors de la dernière rencontre de la phase des poules.
Mais il ne finit pas sans être interrogé sur son favori pour gagner la Coupe du monde à l’exception du Portugal ? : « Le Portugal », répond le sélectionneur qui met en garde contre le potentiel de la Suisse : « C’est une équipe très compétitive, avec des idées très claires. Je m’attendais à une Suisse comme ça. »
